samedi 31 janvier 2009

Dans une galaxie près de chez vous

Un but, un capitaine, une équipage de canadien et un vieux vaissaux, le Romano Fafard. Vous avez deviner ? C'est Dans une galaxie près de chez vous.

Cette série culte québécoise présenter la première fois au canal Vrak Tv en 1998, à été consu par Claude Legault et Pierre-Yves Bernard. Elle contient 65 épisodes de 30 minutes. Cette série a été la plus écouter auprès des jeunes, puis des adultes.

Pesonnellement, j'adore cette série. Il y a aussi des films et ils sont aussi géniaux. Ce que je trouve super, c'est qu'il doivent voyager partout dans l'espace pour trouver une planète habitable pour
(6 milliard de tata) en afrontant toute sorte de défis à chaque épisode car elle est dévaster par la pollution et (le pouche pouche en cancan). Une question se pose, quand vont-il enfin trouver cette planète idéal ? Maleureusement, c'est ce qui me déplait dans cette série.

Bref, je trouve que Dans une galaxie près de chez vous est un chef d'oeuvre québécois.

Par: Alexandre Dumas

jeudi 29 janvier 2009

Gallactica

Pour ma part je trouve vraiment que cette suite de galatica a été "une erreur". La plupart des scènes de combats de vaisseaux ont été repiqués sans modification de la série d'origine.Star Buck et Appolo sont portés disparus et remplacé par deux nouveaux héros. Ces deux héros sont d'ailleurs apparu dans le pilote qui était aussi décevant que la série.Le scénario s'est cherché sans se trouver : au début ils veulent améliorer la terre contemporaine (technologiquement, écologiquement... philosophiquement) puis c'est devenu une caricature de "retour vers le futur" avec des effets de "shérif fait moi peur" pour finalement faire une version "biblique" avec un super enfant sauveur (un genre bébé d'ange envoyé à galactica pour aider à sauver l'humanité tout ça expliquer dans un unique épisode où Star Buck apparaît une dernière fois en compagnie d'un Zylon).Bon j'avoue avoir regardé la majorité des épisodes et je pense que ceux que j'ai manqués devaient être pareils et n'apporte pas vraiment d'originalité ou de finalité à cette suite.J'ai entendu qu'il allait tourné une version "récente". J'espère que le scénario tiendra la route sinon je suis d'avis que les Zylon gagnent parce qu'avec la chance de cocu des gars du galactica pour se sauver de situations débiles en faisant tout un cirque compliqué au moins les Zylon sont cons mais ils ne sont pas aussi tordus.
Par: Bali Balo

Star Wars 3: la Revanche des Sith


Maintenant que nous avons enfin pu le voir, il convient bien naturellement d’en parler. Alors la Revanche des Sith est-il à la hauteur de nos attentes ? Est-ce le meilleur Star Wars ? Ce film est-il au delà même de tout ce que le cinéma a pu produire jusqu’à aujourd’hui ?
Pour ma part j’ai assisté à la première séance accessible au Grand Public à 00H01 mercredi 18 Mai 2005, au Grand Rex à Paris.
Avant toute chose sachez que cette critique comportera deux parties : une avec spoilers, qui se penchera donc sur de nombreux éléments de l’histoire. Evitez là si vous ne voulez rien savoir de l’histoire et que vous n’avez pas encore vu le film. L’autre critique ne fait pas référence à l’histoire directement, et donc vous pouvez la lire sans risquer de vous gâcher le film ! Nous allons donc commencer par celle ci :
La Revanche des Sith - Critique SANS Spoilers
L’attente était énorme sur ce qui est finalement le DERNIER Star Wars que nous pourrons jamais voir au cinéma (voir mon article sur les épisodes 7, 8 et 9), avec des épisodes 1 et 2 qui ne faisaient pas forcément l’unanimité la pression était encore plus importante.
Inutile de vous faire patienter plus longtemps : Revenge of the Sith est énorme, tout simplement. Les fans devraient logiquement l’aimer d’avantage que le grand public, mais il s’agit également d’un grand spectacle que le "profane" pourra apprécier. Naturellement il faut connaître Star Wars et surtout les nouveaux épisodes pour pouvoir apprécier l’oeuvre.
Alors que les précédents Star Wars étaient un peu lents ou mièvres selon les critiques, la revanche des sith est sans temps mort ou presque. Particulièrement sombre comme cela avait été annoncé de longue date, cet épisode est fondamentalement plus mature voire même assez violent dans certaines scènes. Dès la scène d’introduction vous vous trouverez plongés dans l’action. Et malgré une accalmie par la suite, le rythme reste très soutenu tout au long des 2 heures 15 du film.
Anakin au centre de l’histoire
L’histoire est essentiellement focalisée sur Anakin, comme l’ensemble des affiches en attestent, et la première chose que l’on peut reconnaitre c’est que le jeu d’Haiden Christensen est approprié. Difficile d’en attester avec simplement la VF il est vrai. Par rapport à ce qui avait été repproché lors d’épisode 2 : acteur trop gamin, jeu digne de sitcom... (pas forcément justifié selon moi d’ailleurs), notre acteur a un ton très juste dans l’épisode 3. Il est sombre et torturé à souhait, mais également passionné et triste par d’autres aspects. Anakin n’est pas le seul dont le jeu est approprié, Obi-Wan incarné par Ewan Mc Gregor est toujours aussi bon. Même constat pour l’essentiel des personnages principaux : Palpatine, Yoda (lol)... Natalie Portman n’est pas énormément présente et son jeu s’en trouve en retrait, mais elle a tout de même trouvé le ton juste.
ILM explose la concurrence
Les effets spéciaux, grosse partie pour un Star Wars, sont tout simplement hallucinants ! ILM regroupe les meilleurs des meilleurs, et c’est clairement l’élite mondiale des effets spéciaux qui a réalisé ce film. Les plans de la scène d’introduction sont incroyables, c’est carrément sans comparaison avec ce qui a été fait avant. Les angles de caméra sont tout simplement d’une autre planète, de quoi vous retourner la tête !! Cette qualité graphique est constante sur l’ensemble du film. Difficile de détailler d’avantage sans vous révéler des éléments clefs du film. Je dirais simplement que la Revanche des Sith a repoussé les limites très au delà de ce que l’on avait pu voir. Pour autant aucune nouvelle technique révolutionnaire n’a été utilisée, mais les technologies d’épisode 2 notament ont été poussées dans leurs retranchements pour sur !
John Williams fidèle à lui même
Musique et effets sonores sont également un autre élément clef pour un épisode de notre saga, là encore la qualité est au rendez vous. John Williams a su reprendre de nombreux thèmes déjà connus pour en faire une bande originale entièrement nouvelle et en même temps connue. Ici on achève la fusion entre les deux trilogies, avec un entrecroisement de tous ces thèmes mythiques, et naturellement de nouveaux ! Clairement Battle of Heroes est l’une des plus puissantes, mais toutes sont superbes, comme toujours avec les productions de John Williams de toute manière. Les effets sonores sont eux comme toujours naturels et transparents. Par cela j’entends qu’ils sont tellement bien adaptés à l’univers star wars qu’on n’y fait même pas attention. C’est bien la ce qu’il y a d’important là dedans : le son est bon. Petit regret : pas de grosses nouveautés dans ces sons quand même, pas de surprise comme les bombes soniques d’épisode 2 par exemple. Mais pour l’essentiel vous allez en prendre plein les oreilles.
George est notre dieu !
Conclusion ? Puissant, émouvant, noir et violent. Voilà quelques adjectifs adaptés pour qualifier Star Wars Episode 3 - La Revanche des Sith. Le film est une réussite à n’en pas douter, d’ailleurs même les critiques se montrent particulièrement enthousiasmées par ce dernier opus de la saga. Au niveau des quelques défauts on pourrait signaler que la VF semble manquer de punch (par rapport à la bande annonce en anglais du moins, je n’ai pas encore fait de séance en VO pour l’instant). Le jeu d’acteur est meilleur qu’avant, mais reste perfectible. Enfin et surtout, et c’est une remarque que nous sommes nombreux à avoir fait à la sortie : beaucoup d’éléments sont un peu survolés, l’histoire est trop longue pour être racontée dans le temps disponible, du coup certaines choses ne sont pas suffisament approfondies... Dommage mais certainement pas rédibitoire !
En bref Star Wars se termine sur un épisode de grande classe et de grande qualité.
Par: Startide

http://www.generations-starwars.com/Premiere-critique-de-la-Revanche.html

Wall-E


On associe habituellement « film d’animation » avec « film pour enfants » (sans véritable raison, d’ailleurs). Dans ce domaine, Pixar fait figure de précurseur, de véritable inspiration pour toute une génération d’enfants qui s’émerveillent devant les petits héros de ses films, qui deviennent immanquablement grands. Si le succès de Pixar est dû, en grande partie, à la qualité de son animation et à sa facilité – un véritable don! - à trouver des sujets rassembleurs et touchants, on peut dire qu’ici, Pixar s’est surpassé.

Wall-E est un petit robot chargé de nettoyer la Terre, devenue un dépotoir et abandonnée il y a 700 ans par les humains. Seul au monde, il aime les objets insolites et regarde des comédies musicales à la télévision. Un jour, un étrange robot nommé EVE débarque sur Terre. Content de s’en faire un ami, Wall-E se bute plutôt à un robot en mission. Mais cela n’arrêtera pas le petit Wall-E, qui ne laissera pas passer une si belle opportunité.

Le FADEM (le facteur d’attendrissement des enfants et de leur mère, on s’en souvient) associé à ce petit robot est immense, plus grand encore que le panda de Kung Fu Panda. Pourquoi? Deux raisons viennent rapidement à l’esprit : d’abord, il ne parle pas. Aucune parole, quelques sons seulement pour exprimer toute une palette d’émotions. Voilà qui parle aux enfants (et aux adultes aussi). Ensuite parce que Pixar utilise toutes les possibilités de l’animation (pas de caméra, donc moins de contraintes) pour multiplier les situations comiques. Ça a l’air facile comme ça, mais le flair du réalisateur Andrew Stanton lui permet de rendre la naïveté d’un petit robot plus délicieuse encore que celle des autres héros des dernières années; Nemo, Flash McQueen ou Buzz Lightyear.

Techniquement, Pixar est plus grandiose que jamais. Avoir l’audace de présenter un film presque sans dialogues à un public d’enfants - comme si ce n’était pas assez! - force un travail de moine sur le son, où chaque petit bruit porte une signification et transmet une émotion. On peut l’envisager, on peut même l'admettre, mais il faut le vivre, vivre sur grand écran dans une salle obscure (et sans bruyant pop-corn, s’il vous plaît!) l’efficacité et l’universalité des émotions abordées, qui vont de la crainte à l’amour comme on traverse le mur du son, c'est-à-dire sans difficulté aucune. Visuellement, les paysages spatiaux sont féeriques et l’animation par ordinateur atteint un niveau jamais vu, tant dans les détails que les couleurs et l’utilisation absolument fascinante de la lumière.

Pixar se surpasse aussi lorsqu’on décèle un commentaire social plus insistant que par le passé. L’humanité ventripotente est un véritable coup dur pour l’insouciance de cette société obèse, Coke Diet à la main, hot-dog all-dress dans l’autre, et bébé sur les genoux. Cette société chassée par les immondices laissées sur une Terre jetable, qu’il faut reconquérir. Le message est fort mais jamais forcé, la priorité, ici, va au héros.

Vraiment, Wall-E est un petit bijou d’inventivité. Un personnage fort, une situation périlleuse, un peu d’amour, beaucoup de courage; toujours la même recette appliquée à merveille par les artistes et concepteurs de Pixar, de véritables baromètres de la société. Ils marquent à chaque nouveau film l’imaginaire collectif; et quand c’est bien fait comme ça, on a tendance à se laisser faire.
Par: Karl filion

http://www.cinoche.com/films/38810

vendredi 23 janvier 2009

Réfférence des auteurs

Thierry Acot-Mirande (1960- )
Ludovic Albar (1969- )
Jean-Pierre Andrevon (1937- ), autre nom de plume: Alphonse Brutsche (aux éditions du Fleuve Noir)
Ange, autre nom de plume: G.E. Ranne
G-J Arnaud (1928- )
Alexis Aubenque
Ayerdhal (1959- )
Pierre Bameul (1940- )
Jacques Barbéri (1954 - )
Pierre Barbet (1925-1995)
René Barjavel (1911-1985)
Ugo Bellagamba (1972- )
Alain Berson (1968- )
Francis Berthelot (1946- )
Kevin Bokeili (1963-)
Jean Bonnefoy (1950- )
Pierre Bordage (1955- )
Paul Borrelli (1959- )
Nicolas Bouchard (1962- )
Mehdi Bouhalassa (1973- )
Pierre Boulle (1912-1994)
Charlotte Bousquet (1973- )
B.R. Bruss (1895-1979)
Serge Brussolo (1951- )
Armand Cabasson (1970- )
Jérôme Camut (1968- )
Michel Calonne (1927- )
Richard Canal (1953- )
David Calvo (1974- )
Francis Carsac (1919-1981)

mercredi 21 janvier 2009

Lyon Sprague de Camp

Lyon Sprague de Camp est né à New-York le 27 novembre 1907. Il a écrit plus de 1 200 livres de science-fiction et de fantaisy. Il fut aussi ingénieur en aéronautique à la Naval Air Experimental Station de Philadelphie en 1930. Il atteint le grade de lieutenant Commandant au terme de son service. Il décéda le 6 novembre 2000 à Plano au Texas.

mardi 20 janvier 2009

Robert Merle

Robert Merle est né à Tebessa en Algérie le 28 août 1908. Il est le fils de Félix Merle un capitaine interprète d’Algérie. Ancien élève des classes préparatoires, il consacre sa thèse de doctorat de lettres à Oscar Wilde et devient professeur au lycée à Bordeaux. Mobilisé en 1939, Robert devient agent de liaison avec les forces britaniques. Il trouvera la mort chez lui le 27 mars 2004.


vendredi 16 janvier 2009

Qu`est-ce que la science-fiction


Quand j’étais jeune, je m’intéressais au film avec des avions qui allait dans l’espace, des robots voyagent sur d’autres planètes et de la nouvelle technologie. Je ne savais pas que cela s`appelait La science-fiction. Elle est aussi appeler S.F.

Elle est souvent signe de futur, c'est-à-dire que l’histoire se déroule souvent dans le futur. Il est rare de lire ou de voir la science-fiction se dérouler dans le passé.

Si cela dit autre époque, cela veut aussi dire autre personnage. Les personnages de S.F. peuvent être des robots, des humains avec des membres robotiques ou des armes et des véhicules avec une grande avancée technologique. Mais il ne faut pas oublier les personnages typiques de cet univers, les extraterrestres.

Et bien sûr, ont les retrouves sur d’autres planètes, d’autres galaxies, dans des vaisseaux ou dans des villes flottantes entourées de chand de force.

Bref, la S.F. est le plus souvent sugès a l’inimaginable. Pour ceux que cela interessent, il y a beaucoup de film et de livre comme Star war, Alien, Star trek, Gallactica, Wall-E, ect...